Une équipe italienne, soutenue par Martini & Rossi, qui a tout cassé dans les formules inférieures, et même révolutionné la philosophie des monoplaces… Sur le papier, ça en jette non ? Mais une fois dans le grand bain de la F1, ça ne va pas être la même limonade pour la Tecno.
Joyeux 13e jour de décembre ! Fêtons la superstition, parlons d’une équipe italienne du fond de grille, aka la Scuderia Minardi. Quand on n’a connu que la misère en F1, on pourrait penser que les Dieux du sport se montrassent cléments lors d’une course. Il n’en est rien.
Bonjour à tous ! On se retrouve pour ce débriefing du mois de septembre/octobre du championnat qui nous passionne tous : En Partant De La Fin. Pas moins de cinq courses sont à revoir : Belgique, Italie, Singapour, Malaisie et Japon ! Vous êtes bien accrochés ? C’est parti !
On ne parle pas assez des bacs à graviers. Par exemple, je suis certain que personne ne sait qu’ils ont des sentiments. Ils ont même des figures qu’ils vénèrent ! Je vous jure. Leur dernier Saint Patron en date est Pastor Maldonado bien sûr. Mais sachez que son grand-père spirituel était déjà vénéré dans les années 70…
On ne parle pas assez des bacs à graviers. Par exemple, je suis certain que personne ne sait qu’ils ont des sentiments. Ils ont même des figures qu’ils vénèrent ! Je vous jure. Leur dernier Saint Patron en date est Pastor Maldonado bien sûr. Mais sachez que son grand-père spirituel était déjà vénéré dans les années 70…
Même quand on s’appelle la Scuderia Ferrari, on a déjà eu des moments de lose. Par exemple, il y a 25 ans, peu étaient fiers d’afficher leur amour pour le cheval cabré. Surtout après l’épisode de Monza 1995…
“For someone who always had been on front, to be behind was a world of shit. The race start was awfully dangerous, you found yourself by the side of de Cesaris… by the side of drivers that can’t drive shit.”