Je vous parle d’un temps que Max Verstappen ne peut pas connaître. Figurez-vous que son père, Jos The Boss, a connu moult aventures rocambolesques en Formule 1 : accidents, exclusions, piloter dans la même équipe que Ricardo Rosset, j’en passe et des meilleurs… Un incendie aussi, tiens.
C’est mardi, c’est jour de strike. Je vous propose de revenir sur un petit incident qui est presque passé inaperçu. En avril 2000 sur un circuit italien, une voiture rouge pilotée par un Allemand se montra un tout petit peu optimiste sur ses freins…
Quatrième case du calendrier de l’avent moy1. Et nous entrons dans la première semaine complète de décembre. Je vous propose de commencer léger, surtout que nous ne sommes que lundi, avec un arrêt foiré tout à fait honnête. Sans plus.
Nous arrivons déjà au premier dimanche de décembre. Et ce jour est particulièrement spécial car, en plus de célébrer la paresse, il fête ce mois-ci les “exploits” de notre très cher ami Nigel Mansell.
Les arrêts au stand, c’est compliqué. Déjà, rien que le fait de s’arrêter exactement à l’endroit planifié est une vraie galère. Les pilotes du dimanche comme les as du volant ont toujours eu des moments de solitude. Bon, aujourd’hui on va surtout se concentrer sur un pilote de la première catégorie.
Bonsoir à tous ! Nous sommes le 1er décembre de l’an 2017 et il est (presque) 18 heures. C’est donc le moment opportun, après une dure journée de travail, de prendre le temps de se relaxer en ouvrant la toute première case du calendrier de l’Avent Formule moy1 !
Un chapitre se clôt avec la dernière épreuve du championnat EPDLF 2017. Retenez vos larmes, soyons forts, c’est déjà la fin. Le résumé de la course à Abu Dhabi, c’est par ici.
Ho ho ho ! Nous allons bientôt entrer dans ce mois joyeux qu’est décembre. Ce sont les fêtes, les gueules de bois, les repas de famille, les embrouilles, les huîtres, les intoxications alimentaires, les cadeaux, les cadeaux pourris… enfin bref que du bonheur.
Vous m’excuserez du jeu de mot relativement pourri, mais il est important de souligner la vitesse à laquelle Marcus Ericsson roule ces derniers temps. Une vitesse relativement faible sur la piste, certes. Mais dès qu’on parle abandon, alors le Suédois devient un autre homme !
Je dois vous faire une confidence. Cela fait maintenant un an que je vous écris, plus ou moins régulièrement. Mais il est temps que les masques tombent. Car voyez-vous, ce blog nommé Formule Moy1, aussi génial soit-il d’ailleurs, est directement inspiré d’une vieille série américaine des années 80 !