Interrogez un fan de Formule 1 sur le lieu et la date du premier Grand Prix tenu au Moyen-Orient. Probable qu’il vous réponde, sûr de lui : “Bahreïn 2004”. Pourtant, derrière son petit air satisfait complètement intolérable se cache un énorme mensonge… Et il est grand temps de lever le voile là-dessus.
Bonsoir à tous. Il y a quelques semaines, vous avez pu assister en direct au sacre de Brendon Hartley lors du GP EPDLF d’Abu Dhabi. Jetons une dernière fois un coup d’œil sur les deux classements généraux. Car, croyez moi, ça s’est joué à un tout petit poil pubien près…
Ce Grand Prix du Brésil a été fou, fou, fou ! Marcus Ericsson renoue avec la victoire, trois ans après ! Et Esteban Ocon, sérieux candidat au podium, a vu sa course être sabotée par un drôle d’oiseau venu tout droit de Hollande…
Coucou, nous revoilou. Au moment où personne ne s’y attendait, le Championnat En Partant De La Fin revient pour gâter petits et grands. Y’a-t-il eu un bouleversement au classement depuis le dernier point EPDLF ?
Quel plaisir c’était de voir Juan Pablo Montoya faire danser Williams et McLaren sur les circuits de Formule 1 au beau milieu des années 2000 ! Mais tout comme Mansell et Coulthard, le bouillant colombien était connu pour avoir le pied lourd et la faute facile…
Marquer des points en Formule 1 dans les années 80/90, cela relevait de l’exploit. Pourtant, une équipe française comptant moins de cinquante employés y est parvenue par deux fois. Cette équipe, c’était AGS.
Fermez les yeux et pensez à Alain Prost, Ayrton Senna, Jackie Stewart. Dans votre subconscient, le casque de ces pilotes de légende vous apparaît immédiatement tant ils sont connus et reconnus par tous. Et cela me révolte. Car en qualité de fan de F1, si vous connaissez le casque de Michael Schumacher, vous devez aussi connaître celui de Enrico Bertaggia nom d’une pipe.
Un point sur le célèbre championnat En Partant De La Fin, en pause lors de ce mois d’août. Qui est in ? Qui est out ? Qui s’est crashé à de multiples reprises ?
Vous vous souvenez de Jarno Trulli ? Le pilote italien a eu une carrière longue comme le bras : 14 ans de F1, entre 1997 et 2011. Mais saviez-vous que derrière son air sympathique se cache un homme maudit, ayant hérité d’un don tout à fait particulier et deCesaresque au possible ?
Les fins gourmets s’accordent à dire que le bœuf de Kobe est la meilleure viande qui puisse exister. En revanche, le pilote de Kobe ne connaît pas le même amour. Aussi appelé par son nom latin “takus inoetus”, ce spécimen unique au monde se caractérise par un casque bleu et blanc, une mallette de yens pleine à craquer et une main gauche à la place de la droite (et vice-versa).