Nelson Piquet Souto Maior a terrorisé le peloton en Formule 1 dans les années 1980. Avant Senna, le carioca s’est chargé d’être le premier brésilien à remporter trois titres de champion du monde. Son génie du pilotage lui a valu moult succès en catégorie reine. Toutefois, c’est son phrasé qui l’a rendu éternel. Petit florilège.
Quel plaisir c’était de voir Juan Pablo Montoya faire danser Williams et McLaren sur les circuits de Formule 1 au beau milieu des années 2000 ! Mais tout comme Mansell et Coulthard, le bouillant colombien était connu pour avoir le pied lourd et la faute facile…
Il est temps d’ouvrir la toute dernière case de ce calendrier de l’avent Formule moy1. Evidemment, qui de mieux que Nigel Mansell pour clore cette formidable aventure ? Observons le tout dernier arrêt au stand à oublier, direction le GP du Portugal 1991.
Chose promise, chose due. Nigel Mansell est de nouveau à l’honneur ce dimanche avec un arrêt raté de toute beauté. Le cadre est tout aussi majestueux : Grand Prix du Japon 1990, quelques instants après l’accrochage entre Alain Prost et Ayrton Senna…
Nous arrivons déjà au premier dimanche de décembre. Et ce jour est particulièrement spécial car, en plus de célébrer la paresse, il fête ce mois-ci les “exploits” de notre très cher ami Nigel Mansell.
Nigel Mansell. Ce nom évoque le souvenir d’un coup de volant dévastateur associé à un pied droit terriblement lourd dans toutes les têtes des fans de Formule 1. Mais malgré son titre de champion du monde 1992, le pilote britannique est passé par un chemin de croix avant de connaître le succès…