Les fins gourmets s’accordent à dire que le bœuf de Kobe est la meilleure viande qui puisse exister. En revanche, le pilote de Kobe ne connaît pas le même amour. Aussi appelé par son nom latin “takus inoetus”, ce spécimen unique au monde se caractérise par un casque bleu et blanc, une mallette de yens pleine à craquer et une main gauche à la place de la droite (et vice-versa).
Je vous parle d’un temps que Max Verstappen ne peut pas connaître. Figurez-vous que son père, Jos The Boss, a connu moult aventures rocambolesques en Formule 1 : accidents, exclusions, piloter dans la même équipe que Ricardo Rosset, j’en passe et des meilleurs… Un incendie aussi, tiens.
Ah, les années 90 ! Cette décennie est visiblement aimée de tous et les raisons sont obscures : les pogs, Beverly Hills 90210, le Danemark champion d’Europe, Boyz II Men… En sport auto aussi, on a adoré les années 90. Tout particulièrement grâce aux backmarkers.
“Pour quelqu’un qui a toujours été devant, être derrière était merdique. Les départs étaient terriblement dangereux, vous vous retrouviez à côté de types comme de Cesaris… de types qui ne savaient pas tenir un foutu volant”