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11/12 : PANIQUE DANS LES STANDS

Les arrêts au stand, surtout quand ils sont groupés, c’est une mécanique huilée à l’huile d’olive qui ne doit jamais, JAMAIS, s’enrayer. Tenez, regardez le GP de Hongrie 2010 par exemple. Ce jour-là la mécanique s’est enrayée comme pas possible.

Je m’en souviens encore de ce Grand Prix de Hongrie 2010. Les premiers tours étaient d’une soporificité encore jamais atteinte auparavant. J’étais même à deux doigts de rejoindre Morphée dans un monde meilleur quand soudain, miracle.

NE JAMAIS OUBLIER DE BIEN VISSER

Une Force India, ou une équipe nulle dans le style, avait laissé traîner un morceau d’aileron sur la piste. La voiture de sécurité entre en piste et tout le monde en profite pour rentrer au stand (sauf Webber qui gagnera la course, façon Alonso 2008). Et quand une vingtaine de furieux rentrent dans la voie des stands, même s’ils sont limités à 100 km/h, ça fait peur.

On s’attend au pire dans ce genre de situations. Mercedes donne le coup d’envoi des conneries en faisant repartir Rosberg avec une roue mal serrée. Celle-ci finit par quitter la F1, encore dans la pitlane ! Les mécaniciens de toutes les équipes dansent comme au Bolchoï pour éviter de se faire tacler par un pneu pesant le poids d’un âne mort.

Chez Renault, le préposé à la sucette est tellement perturbé par le pneu fou qu’il laisse repartir Kubica sans vérifier si une voiture arrivait. Manque de bol, il y en avait une. Sutil, qui plongeait vers son stand, se fait percuter par Kubica qui sortait du sien. L’accident s’est produit pile-poil entre les mécaniciens Renault et Force India, heureusement.

 

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Je tiens à préciser que je n’ai rien à voir avec le son de cette vidéo.

A demain !

LE CALENDRIER DE L’AVENT FORMULE MOY1

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