Nelson Piquet Souto Maior a terrorisé le peloton en Formule 1 dans les années 1980. Avant Senna, le carioca s’est chargé d’être le premier brésilien à remporter trois titres de champion du monde. Son génie du pilotage lui a valu moult succès en catégorie reine. Toutefois, c’est son phrasé qui l’a rendu éternel. Petit florilège.
On vous a compilé dix petites histoires pas piquées des hannetons sur la Formule 1. Une vidéo à déguster sans modération au coin du feu, un soir d’hiver…
En Formule 1, tout est beau, tout est joli. Parfois, il arrive que vingt pilotes se battent comme des chiffonniers en piste pendant deux heures un dimanche sur deux. Or tout est bien vite pardonné lorsque ces gladiateurs trempés de sueur s’extraient de leur bolide de course. Qu’entends-je ? Qui a osé évoquer le conflit FISA – FOCA ?!
Bonsoir à tous. Il y a quelques semaines, vous avez pu assister en direct au sacre de Brendon Hartley lors du GP EPDLF d’Abu Dhabi. Jetons une dernière fois un coup d’œil sur les deux classements généraux. Car, croyez moi, ça s’est joué à un tout petit poil pubien près…
Ce Grand Prix du Brésil a été fou, fou, fou ! Marcus Ericsson renoue avec la victoire, trois ans après ! Et Esteban Ocon, sérieux candidat au podium, a vu sa course être sabotée par un drôle d’oiseau venu tout droit de Hollande…
Quel plaisir c’était de voir Juan Pablo Montoya faire danser Williams et McLaren sur les circuits de Formule 1 au beau milieu des années 2000 ! Mais tout comme Mansell et Coulthard, le bouillant colombien était connu pour avoir le pied lourd et la faute facile…
Incroyable mais vrai. Découvrez en exclusivité pour vous, les abonnés Formulemoy1IN SPORTS, le premier résumé EPDLF 2018. Un premier quart de saison dominé de la tête et des épaules par le Soviet Serge Sirotkin et son équipe Williams Racing !
Il est temps d’ouvrir la toute dernière case de ce calendrier de l’avent Formule moy1. Evidemment, qui de mieux que Nigel Mansell pour clore cette formidable aventure ? Observons le tout dernier arrêt au stand à oublier, direction le GP du Portugal 1991.
Ah, Jean-Paul Montoya… Le Colombien était ce petit vent de fraîcheur dans les pelotons des années 2000. D’un tempérament bien trempé, Montoya était un Maldonado qui avait réussi. Pourtant, il lui arrivait de faire beaucoup de conneries. Un de ses mécaniciens chez Williams peut en témoigner.
Les arrêts au stand, c’est compliqué. Déjà, rien que le fait de s’arrêter exactement à l’endroit planifié est une vraie galère. Les pilotes du dimanche comme les as du volant ont toujours eu des moments de solitude. Bon, aujourd’hui on va surtout se concentrer sur un pilote de la première catégorie.