Nelson Piquet Souto Maior a terrorisé le peloton en Formule 1 dans les années 1980. Avant Senna, le carioca s’est chargé d’être le premier brésilien à remporter trois titres de champion du monde. Son génie du pilotage lui a valu moult succès en catégorie reine. Toutefois, c’est son phrasé qui l’a rendu éternel. Petit florilège.
Interrogez un fan de Formule 1 sur le lieu et la date du premier Grand Prix tenu au Moyen-Orient. Probable qu’il vous réponde, sûr de lui : “Bahreïn 2004”. Pourtant, derrière son petit air satisfait complètement intolérable se cache un énorme mensonge… Et il est grand temps de lever le voile là-dessus.
En 70 ans d’existence, la Formule 1 en a vu passer des phénomènes. Plus de mille pilotes ont tenté leur chance en catégorie reine mais moins de 800 ont pu participer à un Grand Prix. Aujourd’hui, parlons de quelqu’un qui a été recalé justement.
“Pour quelqu’un qui a toujours été devant, être derrière était merdique. Les départs étaient terriblement dangereux, vous vous retrouviez à côté de types comme de Cesaris… de types qui ne savaient pas tenir un foutu volant”