La Formule 1 est un sport cruel, c’est un fait avéré. On ne compte plus le nombre d’écuries issues des catégories inférieures s’y étant cassées les dents. Mais le pire dans cette affaire, c’est que personne ne se souvient de leur nom. En revanche, l’écurie Onyx mérite de rester dans les mémoires collectives grâce à sa ressemblance troublante avec une structure actuelle du plateau : Rich Energy Haas F1 Team.
Nous arrivons déjà au premier dimanche de décembre. Et ce jour est particulièrement spécial car, en plus de célébrer la paresse, il fête ce mois-ci les “exploits” de notre très cher ami Nigel Mansell.
Nigel Mansell. Ce nom évoque le souvenir d’un coup de volant dévastateur associé à un pied droit terriblement lourd dans toutes les têtes des fans de Formule 1. Mais malgré son titre de champion du monde 1992, le pilote britannique est passé par un chemin de croix avant de connaître le succès…
“Pour quelqu’un qui a toujours été devant, être derrière était merdique. Les départs étaient terriblement dangereux, vous vous retrouviez à côté de types comme de Cesaris… de types qui ne savaient pas tenir un foutu volant”