Cela n’a beau être qu’un sport (en principe du moins), la Formule 1 a souvent été le repaire des plus grands filous de la planète. Formule moy1 passe en revue ces Christophe Rocancourt de l’asphalte.
En Formule 1, tout est beau, tout est joli. Parfois, il arrive que vingt pilotes se battent comme des chiffonniers en piste pendant deux heures un dimanche sur deux. Or tout est bien vite pardonné lorsque ces gladiateurs trempés de sueur s’extraient de leur bolide de course. Qu’entends-je ? Qui a osé évoquer le conflit FISA – FOCA ?!
Marquer des points en Formule 1 dans les années 80/90, cela relevait de l’exploit. Pourtant, une équipe française comptant moins de cinquante employés y est parvenue par deux fois. Cette équipe, c’était AGS.
“Pour quelqu’un qui a toujours été devant, être derrière était merdique. Les départs étaient terriblement dangereux, vous vous retrouviez à côté de types comme de Cesaris… de types qui ne savaient pas tenir un foutu volant”