Ferrari et les changements de pneus, c’est une grande histoire d’amore. Par deux fois, les rouges ont eu toutes les peines du monde à se dégoter quatre pneus intermédiaires pour un arrêt au stand : la première fois au Nurburgring en 1999 et la deuxième fois à Sepang en 2001.
Chose promise, chose due. Nigel Mansell est de nouveau à l’honneur ce dimanche avec un arrêt raté de toute beauté. Le cadre est tout aussi majestueux : Grand Prix du Japon 1990, quelques instants après l’accrochage entre Alain Prost et Ayrton Senna…
La dernière fois, je vous avais parlé de la plus belle course de Formule 1 de tous les temps : le Grand Prix d’Europe 1999. Ça tombe bien, aujourd’hui – à dix jours de Noël – on va en parler de nouveau.
Comme vous avez pu le constater, c’est un “dimansell” un peu spécial aujourd’hui car il sera composé à 100% par l’absence de Nigel Mansell. Le moustachu reviendra dimanche prochain, c’est promis. Pour réparer cette faute professionnelle, nous allons revenir sur l’arrêt le plus marquant de la dernière décennie.
C’est mardi, c’est jour de strike. Je vous propose de revenir sur un petit incident qui est presque passé inaperçu. En avril 2000 sur un circuit italien, une voiture rouge pilotée par un Allemand se montra un tout petit peu optimiste sur ses freins…
Nous arrivons déjà au premier dimanche de décembre. Et ce jour est particulièrement spécial car, en plus de célébrer la paresse, il fête ce mois-ci les “exploits” de notre très cher ami Nigel Mansell.
Même s’il a failli finir champion du monde (à une centaine de points près), il en a connu des passes difficiles notre David Coulthard. On se souvient de ce pilote des années 2000 filant à la vitesse de la lumière dans sa McLaren argentée. Moins dans sa Williams cabossée…
Nigel Mansell. Ce nom évoque le souvenir d’un coup de volant dévastateur associé à un pied droit terriblement lourd dans toutes les têtes des fans de Formule 1. Mais malgré son titre de champion du monde 1992, le pilote britannique est passé par un chemin de croix avant de connaître le succès…
Même quand on s’appelle la Scuderia Ferrari, on a déjà eu des moments de lose. Par exemple, il y a 25 ans, peu étaient fiers d’afficher leur amour pour le cheval cabré. Surtout après l’épisode de Monza 1995…