Les arrêts au stand, surtout quand ils sont groupés, c’est une mécanique huilée à l’huile d’olive qui ne doit jamais, JAMAIS, s’enrayer. Tenez, regardez le GP de Hongrie 2010 par exemple. Ce jour-là la mécanique s’est enrayée comme pas possible.
Les arrêts au stand, surtout quand ils sont groupés, c’est une mécanique huilée à l’huile d’olive qui ne doit jamais, JAMAIS, s’enrayer. Tenez, regardez le GP de Hongrie 2010 par exemple. Ce jour-là la mécanique s’est enrayée comme pas possible.