01/12 : LE RÊVE BRISÉ DE RICCIARDO

01/12 : LE RÊVE BRISÉ DE RICCIARDO

Bonsoir à tous ! Nous sommes le 1er décembre de l’an 2017 et il est (presque) 18 heures. C’est donc le moment opportun, après une dure journée de travail, de prendre le temps de se relaxer en ouvrant la toute première case du calendrier de l’Avent Formule moy1 !

NO DANIEL NO CRY

Cette première case du calendrier est un arrêt tout récent puisqu’il date de 2016. Contexte : l’hégémonie Mercedes continue de fracasser la F1, et cela fait bien chier les fans. En Espagne, le public a cru rêver en voyant les deux flèches d’argent se télescoper dans le premier tour, offrant à Max Verstappen sa toute première victoire !

Les Mercedes sont-elles en train de tomber de leur piédestal ? Cette question a le mérite d’être posée, surtout après l’étonnante pole signée Daniel Ricciardo lors de la course suivante à Monaco ! L’Australien de Red Bull bat les Allemands à la régulière avec ce meilleur temps sur piste sèche. Le lendemain, c’est une autre paire de manches puisqu’il pleut.

Ricciardo ne se démonte pas et reste leader au premier virage. Au fil des tours, la pluie cesse et on envisage de passer aux pneus pour le sec… Hamilton saute le pas en premier. Chez Red Bull, on ne s’affole pas et on couvre l’arrêt du Britannique en faisant arrêter Ricciardo le tour d’après. Mais n’aurait-on pas oublié quelque chose dans le stand ?!

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Où sont les pneus ??? Les secondes défilent, Ricciardo n’est que spectateur et les mécaniciens cherchent les pneus secs comme si leur vie en dépendait. Pour le coup, c’est leur carrière qui en dépend. Ils finissent par mettre la main dessus, trop tard. L’arrêt dure 15 secondes (contre 2,5 secondes habituellement). Et pour couronner le tout, Ricciardo perd la tête de la course pour quelques centimètres face à Hamilton !

Maintenant devant, la Mercedes ne peut plus être rattrapée dans les rues étroites de Monte-Carlo et Ricciardo doit se contenter de la seconde place. Autant vous dire que le pilote Red Bull était bien dégoûté sur le podium. Et on le comprend.

A demain !

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