Le guide des équipes moyennes de F1 des années 2000 vous a plu ? Vous en voulez encore ? … Non ? Ah, mince, bon alors fermez les yeux pour les prochaines minutes, cet article est susceptible de ne pas vous plaire.
La Formule 1 est un sport cruel, c’est un fait avéré. On ne compte plus le nombre d’écuries issues des catégories inférieures s’y étant cassées les dents. Mais le pire dans cette affaire, c’est que personne ne se souvient de leur nom. En revanche, l’écurie Onyx mérite de rester dans les mémoires collectives grâce à sa ressemblance troublante avec une structure actuelle du plateau : Rich Energy Haas F1 Team.
La dernière fois, nous avions écrit la biographie des Automobiles Gonfaronnaises Sportives. Mais passons outre ces six saisons en Formule 1 et concentrons-nous sur quatre histoires ayant contribué à la légende de cette écurie.
Marquer des points en Formule 1 dans les années 80/90, cela relevait de l’exploit. Pourtant, une équipe française comptant moins de cinquante employés y est parvenue par deux fois. Cette équipe, c’était AGS.
Une équipe italienne, soutenue par Martini & Rossi, qui a tout cassé dans les formules inférieures, et même révolutionné la philosophie des monoplaces… Sur le papier, ça en jette non ? Mais une fois dans le grand bain de la F1, ça ne va pas être la même limonade pour la Tecno.
Ah, les années 90 ! Cette décennie est visiblement aimée de tous et les raisons sont obscures : les pogs, Beverly Hills 90210, le Danemark champion d’Europe, Boyz II Men… En sport auto aussi, on a adoré les années 90. Tout particulièrement grâce aux backmarkers.
On s’est volontiers moqué des performances de HRT, Caterham ou Marussia/Manor il y a quelques années. Mais ces trois équipes peuvent se targuer d’avoir tenu plusieurs saisons dans l’élite, ce qui n’est pas du tout le cas de certains…
Les Andrea de la F1 sont des cas à part. Qu’ils soient pilotes ou chefs d’équipe, ils se caractérisent par un manque évident de talent. Aujourd’hui, intéressons-nous de plus près à l’équipe nommée Andrea.