Nelson Piquet Souto Maior a terrorisé le peloton en Formule 1 dans les années 1980. Avant Senna, le carioca s’est chargé d’être le premier brésilien à remporter trois titres de champion du monde. Son génie du pilotage lui a valu moult succès en catégorie reine. Toutefois, c’est son phrasé qui l’a rendu éternel. Petit florilège.
Fermez les yeux et pensez à Alain Prost, Ayrton Senna, Jackie Stewart. Dans votre subconscient, le casque de ces pilotes de légende vous apparaît immédiatement tant ils sont connus et reconnus par tous. Et cela me révolte. Car en qualité de fan de F1, si vous connaissez le casque de Michael Schumacher, vous devez aussi connaître celui de Enrico Bertaggia nom d’une pipe.
Je dois vous faire une confidence. Cela fait maintenant un an que je vous écris, plus ou moins régulièrement. Mais il est temps que les masques tombent. Car voyez-vous, ce blog nommé Formule Moy1, aussi génial soit-il d’ailleurs, est directement inspiré d’une vieille série américaine des années 80 !
“Pour quelqu’un qui a toujours été devant, être derrière était merdique. Les départs étaient terriblement dangereux, vous vous retrouviez à côté de types comme de Cesaris… de types qui ne savaient pas tenir un foutu volant”