Cela n’a beau être qu’un sport (en principe du moins), la Formule 1 a souvent été le repaire des plus grands filous de la planète. Formule moy1 passe en revue ces Christophe Rocancourt de l’asphalte.
Nelson Piquet Souto Maior a terrorisé le peloton en Formule 1 dans les années 1980. Avant Senna, le carioca s’est chargé d’être le premier brésilien à remporter trois titres de champion du monde. Son génie du pilotage lui a valu moult succès en catégorie reine. Toutefois, c’est son phrasé qui l’a rendu éternel. Petit florilège.
Joyeux Noël les amoureux de la F1 ! Décidément, les vidéos s’enchaînent. Formule moy1 visite encore un ancien circuit de Formule 1 et, attention, c’est un gros morceau : j’ai nommé Rouen les Essarts. Une piste normande qui a accueilli cinq fois la Formule 1 en 16 ans mais qui a également connu une fin tragique…
Comme indiqué dans notre précédent article, Bernie Ecclestone a un goût prononcé pour les billets verts. On pourrait penser que personne en Formule 1 n’est parvenu à faire perdre de l’argent à Mr. E, pourtant c’est faux !
En Formule 1, tout est beau, tout est joli. Parfois, il arrive que vingt pilotes se battent comme des chiffonniers en piste pendant deux heures un dimanche sur deux. Or tout est bien vite pardonné lorsque ces gladiateurs trempés de sueur s’extraient de leur bolide de course. Qu’entends-je ? Qui a osé évoquer le conflit FISA – FOCA ?!
“Pour quelqu’un qui a toujours été devant, être derrière était merdique. Les départs étaient terriblement dangereux, vous vous retrouviez à côté de types comme de Cesaris… de types qui ne savaient pas tenir un foutu volant”