Nelson Piquet Souto Maior a terrorisé le peloton en Formule 1 dans les années 1980. Avant Senna, le carioca s’est chargé d’être le premier brésilien à remporter trois titres de champion du monde. Son génie du pilotage lui a valu moult succès en catégorie reine. Toutefois, c’est son phrasé qui l’a rendu éternel. Petit florilège.
Il est temps d’ouvrir la toute dernière case de ce calendrier de l’avent Formule moy1. Evidemment, qui de mieux que Nigel Mansell pour clore cette formidable aventure ? Observons le tout dernier arrêt au stand à oublier, direction le GP du Portugal 1991.
Nigel Mansell. Ce nom évoque le souvenir d’un coup de volant dévastateur associé à un pied droit terriblement lourd dans toutes les têtes des fans de Formule 1. Mais malgré son titre de champion du monde 1992, le pilote britannique est passé par un chemin de croix avant de connaître le succès…
“Pour quelqu’un qui a toujours été devant, être derrière était merdique. Les départs étaient terriblement dangereux, vous vous retrouviez à côté de types comme de Cesaris… de types qui ne savaient pas tenir un foutu volant”