Joyeux 13e jour de décembre ! Fêtons la superstition, parlons d’une équipe italienne du fond de grille, aka la Scuderia Minardi. Quand on n’a connu que la misère en F1, on pourrait penser que les Dieux du sport se montrassent cléments lors d’une course. Il n’en est rien.
Les mécaniciens ont quand même la vie dure. Ces hommes et femmes travaillent matin midi soir pour faire en sorte que la voiture roule. Et qu’ont-ils en remerciement ? Walou. En plus de cela, ils se font renverser par les pilotes les plus imprudents…
Les arrêts au stand, surtout quand ils sont groupés, c’est une mécanique huilée à l’huile d’olive qui ne doit jamais, JAMAIS, s’enrayer. Tenez, regardez le GP de Hongrie 2010 par exemple. Ce jour-là la mécanique s’est enrayée comme pas possible.
Comme vous avez pu le constater, c’est un “dimansell” un peu spécial aujourd’hui car il sera composé à 100% par l’absence de Nigel Mansell. Le moustachu reviendra dimanche prochain, c’est promis. Pour réparer cette faute professionnelle, nous allons revenir sur l’arrêt le plus marquant de la dernière décennie.
Ah, Jean-Paul Montoya… Le Colombien était ce petit vent de fraîcheur dans les pelotons des années 2000. D’un tempérament bien trempé, Montoya était un Maldonado qui avait réussi. Pourtant, il lui arrivait de faire beaucoup de conneries. Un de ses mécaniciens chez Williams peut en témoigner.
Mark Webber était un pilote que j’appréciais beaucoup. Pourquoi ? Je n’en sais rien. Surtout que le bonhomme faisait tout pour qu’on le déteste : départs horribles, fautes maldonadiennes et aucune rébellion face à un traitement plus que douteux de la part de Red Bull…
Nous arrivons bientôt au terme de notre première semaine de calendrier ! Vos estomacs tiennent encore le choc ? Tant mieux. C’est un “back-to-back Benetton” que je vous propose aujourd’hui avec un deuxième arrêt à oublier pour l’équipe qui fait des pulls.
Je vous parle d’un temps que Max Verstappen ne peut pas connaître. Figurez-vous que son père, Jos The Boss, a connu moult aventures rocambolesques en Formule 1 : accidents, exclusions, piloter dans la même équipe que Ricardo Rosset, j’en passe et des meilleurs… Un incendie aussi, tiens.
C’est mardi, c’est jour de strike. Je vous propose de revenir sur un petit incident qui est presque passé inaperçu. En avril 2000 sur un circuit italien, une voiture rouge pilotée par un Allemand se montra un tout petit peu optimiste sur ses freins…
Quatrième case du calendrier de l’avent moy1. Et nous entrons dans la première semaine complète de décembre. Je vous propose de commencer léger, surtout que nous ne sommes que lundi, avec un arrêt foiré tout à fait honnête. Sans plus.