Ah, Jean-Paul Montoya… Le Colombien était ce petit vent de fraîcheur dans les pelotons des années 2000. D’un tempérament bien trempé, Montoya était un Maldonado qui avait réussi. Pourtant, il lui arrivait de faire beaucoup de conneries. Un de ses mécaniciens chez Williams peut en témoigner.
Mark Webber était un pilote que j’appréciais beaucoup. Pourquoi ? Je n’en sais rien. Surtout que le bonhomme faisait tout pour qu’on le déteste : départs horribles, fautes maldonadiennes et aucune rébellion face à un traitement plus que douteux de la part de Red Bull…
Nous arrivons bientôt au terme de notre première semaine de calendrier ! Vos estomacs tiennent encore le choc ? Tant mieux. C’est un “back-to-back Benetton” que je vous propose aujourd’hui avec un deuxième arrêt à oublier pour l’équipe qui fait des pulls.
Je vous parle d’un temps que Max Verstappen ne peut pas connaître. Figurez-vous que son père, Jos The Boss, a connu moult aventures rocambolesques en Formule 1 : accidents, exclusions, piloter dans la même équipe que Ricardo Rosset, j’en passe et des meilleurs… Un incendie aussi, tiens.
C’est mardi, c’est jour de strike. Je vous propose de revenir sur un petit incident qui est presque passé inaperçu. En avril 2000 sur un circuit italien, une voiture rouge pilotée par un Allemand se montra un tout petit peu optimiste sur ses freins…
Nous arrivons déjà au premier dimanche de décembre. Et ce jour est particulièrement spécial car, en plus de célébrer la paresse, il fête ce mois-ci les “exploits” de notre très cher ami Nigel Mansell.
On ne parle pas assez des bacs à graviers. Par exemple, je suis certain que personne ne sait qu’ils ont des sentiments. Ils ont même des figures qu’ils vénèrent ! Je vous jure. Leur dernier Saint Patron en date est Pastor Maldonado bien sûr. Mais sachez que son grand-père spirituel était déjà vénéré dans les années 70…
Ah, les années 90 ! Cette décennie est visiblement aimée de tous et les raisons sont obscures : les pogs, Beverly Hills 90210, le Danemark champion d’Europe, Boyz II Men… En sport auto aussi, on a adoré les années 90. Tout particulièrement grâce aux backmarkers.
Le mois de juin avait été haut en couleur, c’est un fait. Pauvres fous, ce n’était rien comparé à ce mois de juillet. La hausse des températures a fait chauffer les esprits (notamment celui de Daniil Kvyat). Le récap du championnat En Partant De La Fin, c’est parti !
Le drapeau noir. Ce terrible étendard est rarement présenté aux pilotes de Formule 1 étant donné la gravité de sa signification. En sport automobile, un drapeau noir signifie une exclusion pure et dure de la course. L’humiliation est suprême : l’équivalent d’aller au coin pour les pilotes.