L’Argentine n’a pas vraiment eu des foudres de guerre depuis Juan Manuel Fangio… Car avant Gaston Mazzacane, il y a eu Esteban Tuero. L’Argentin pilotait lui aussi pour Minardi et a également connu un arrêt terriblement raté.
L’Argentine n’a pas vraiment eu des foudres de guerre depuis Juan Manuel Fangio… Car avant Gaston Mazzacane, il y a eu Esteban Tuero. L’Argentin pilotait lui aussi pour Minardi et a également connu un arrêt terriblement raté.
Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’Eddie Irvine n’a pas été tellement verni avec ses arrêts au stand. Avant de connaître une des pires erreurs de Ferrari en F1, le sympathique Nord-Irlandais fut également victime d’une “petite” méprise dans la voie des stands.
Ahhhhh, ¡Gastón Mazzacane! Mon Argentin préféré (loin devant Norberto Fontana) a connu son quart d’heure de gloire lors du GP des Etats-Unis 2000. Souvenez-vous, nous en parlions déjà il y a un an de ça…
Ce calendrier de l’avent est très éprouvant pour moi. Principalement parce que j’ai du me farcir deux arrêts de Mark Webber. Aujourd’hui, attardons-nous sur le deuxième et dernier arrêt à oublier pour l’Australien. Le plus mémorable.
Chose promise, chose due. Nigel Mansell est de nouveau à l’honneur ce dimanche avec un arrêt raté de toute beauté. Le cadre est tout aussi majestueux : Grand Prix du Japon 1990, quelques instants après l’accrochage entre Alain Prost et Ayrton Senna…
Il est rare de voir des accidents de Romain Grosjean aujourd’hui. Je ne dis pas que ça ne se produit plus, il faut être un tout petit peu plus attentif qu’à l’époque dorée de 2012 disons. Retour sur un strike manqué, un spare donc, signé Romain Grosjean en mai 2015.
La dernière fois, je vous avais parlé de la plus belle course de Formule 1 de tous les temps : le Grand Prix d’Europe 1999. Ça tombe bien, aujourd’hui – à dix jours de Noël – on va en parler de nouveau.
Bonsoir. Vous vous êtes déjà demandé ce qu’il se passait si l’on mélangeait les arrêts de Johnny Herbert et de Felipe Massa ? Non ? Tant mieux car le résultat est juste en dessous.
Joyeux 13e jour de décembre ! Fêtons la superstition, parlons d’une équipe italienne du fond de grille, aka la Scuderia Minardi. Quand on n’a connu que la misère en F1, on pourrait penser que les Dieux du sport se montrassent cléments lors d’une course. Il n’en est rien.
Les mécaniciens ont quand même la vie dure. Ces hommes et femmes travaillent matin midi soir pour faire en sorte que la voiture roule. Et qu’ont-ils en remerciement ? Walou. En plus de cela, ils se font renverser par les pilotes les plus imprudents…